En-en-en-en Fer
Après avoir hésité vingt minutes Et fait trois fois l’tour du quartier Je me suis enfin décidé A contrecoeur je suis entré
Dans une pièce j’ai attendu Que l’on vienne enfin me chercher Les minutes me semblaient des heures Mon visage ruisselait de sueur Ouais de sueur
23 minutes en enfer Comme un martyr J’ai souffert 23 minutes en enfer Entre les mains D’un tortionnaire
C’est alors que la porte s’est ouverte Il m’a demandé de m’asseoir Me saisissant de ses mains expertes S’est acharné sur ma mâchoire
Ce fut la valse des roulettes Des odieux liquides qu’on injecte Des nerfs toujours récalcitrants Et le goût amer de mon sang De mon sang
23 minutes en enfer Comme un martyr J’ai souffert 23 minutes en enfer Entre les mains D’un tortionnaire
Alors que la peur me tenaille J’ai des craquements plein la tête Résultat de l’odieux travail De ce bourreau d'opérette
Solidement enfoncé Du fauteuil je n’ai pu me lever Dans ma bouche un trou béant Remplaçait ce que fut ma dent Ouais ma dent
23 minutes en enfer Comme un martyr J’ai souffert 23 minutes en enfer Entre les mains D’un tortionnaire
Dans le port d’Amsterdam Y a des marins qui mangent Sur des nappes trop blanches Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents A croquer la fortune A décroisser la lune A pousser des haubans
Et ça sent la morue Jusque dans le cœur des frites Que leurs grosses mains invitent A revenir en plus
Puis se lèvent en riant Dans un bruit de tempête Referment leurs braguettes Et sortent en rôtant
Dans le port d’Amsterdam Y a des marins qui boivent Et qui boivent et reboivent Et qui reboivent encore
Ils boivent à la santé Des putains d’Amsterdam De Hambourg ou d’ailleurs Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps Qui leur donnent leur vertu Pour une pièce en or Et lorsqu’ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel Se mouchent dans les étoiles Et ils pissent comme je pleure Sur les femmes infidèles
Les années d’acier ont commencé Forgées dans un métal bien trempé Elles font vaciller le vieux monde Ecoute la tempête au loin qui gronde
Ooooooooh (x4)
Tu n’as plus aucune alternative Pour choisir la voie qu’il te faut suivre Nos décisions seront définitives Sans aucun moyen de compromis
Ooooooooh (x4)
Ces années sont notre destinée Qu’importe ce qui va nous arriver Avant on se sera bien marrés Tant pis pour ceux qu’en ont pas profité
Ooooooooh (x4)
Les années d’acier ont commencé Forgées dans un métal bien trempé Elles font vaciller le vieux monde Ecoute la tempête au loin qui gronde
Cette chanson est dédiée à tous ceux qui nous jugent La connerie n’attend pas le nombre des années Vous qui osez nous juger n’êtes pas meilleurs que nous La bêtise est votre atout, vot’bassesse me fait pitié
Les Autres Remuent la boue, ils se vautrent Les Autres Tous plus cons les uns qu’les autres Les Autres Se prennent pour des apôtres Les Autres Pas un pour racheter l’autre
Au royaume des imbéciles les abrutis sont rois Il ne sera difficile pour vous de faire un choix Votre bassesse n’a d’égale que vot’cupidité Cultivant le scandale votre arme préférée
Les Autres Remuent la boue, ils se vautrent Les Autres Tous plus cons les uns qu’les autres Les Autres Se prennent pour des apôtres Les Autres Pas un pour racheter l’autre
Les maîtres d’la calomnie ont le verbe facile Ils manient l’hypocrisie de façon très subtile Vous êtes trop médisants pour être intéressants Les gens comme vous, insignifiants, me font perdre mon temps
Les Autres Remuent la boue, ils se vautrent Les Autres Tous plus cons les uns qu’les autres Les Autres Se prennent pour des apôtres Les Autres Pas un pour racheter l’autre
Quand je marche doucement Dans les rues de Barcelone Sous ces pavés usés par le temps Par les bottes qui résonnent
Barcelone 1936 Viva la Muerte Barcelone 1936
L’histoire avait choisi cette ville L’espoir dormait dans vos mains La vie leur semblait si facile Dans ce combat vers le destin
Barcelone 1936 Viva la Muerte Barcelone 1936
Quand je marche doucement Dans les rues de Barcelone Sous ces pavés usés par le temps Par les bottes qui résonnent
Barcelone 1936 Viva la Muerte Barcelone 1936
Criant son discours enflammé Haranguant des foules exaltées Rassemblement de partisans Hurlant des slogans imposés
A chacun sa carte du parti Tous réunis par des promesses En vrac, moutons fanatisés Que la démesure impressionne
rassemblés Se saluant le poing levé Des salles combles embrigadées Défilant le bras tendu
Manifestations organisées Pour pantins endoctrinés Des dirigeants qui pensent pour eux Les transforment en mecs dangereux
Criant son discours enflammé Haranguant des foules exaltées Rassemblement de partisans Hurlant des slogans imposés
A chacun sa carte du parti Tous réunis par des promesses En vrac, moutons fanatisés Que la démesure impressionne
Je vous demande avec attention Ecoutez bien cette émission Nous venons d’prendre possession Des secteurs clés de la nation
Nos troupes ont pris position Aux quatre coins du territoire Chœurs « Aux quatre coins du territoire »
Nous contrôlons la situation Maintenant nous écrivons l’histoire Chœurs « Nous écrivons l’histoire »
Un coup d’état, un coup d’éclat Toujours et encore Le même résultat
Des milliers de chars, de soldats Des généraux En tenue d’apparat
Nous contrôlons l’information Nous avons muselé l’opposition Il n’y aura pas de révolution Rejoignez la collaboration
Confiants Dans les gardiens de l’ordre Remparts de la civilisation Chœurs « De la civilisation »
La bête Maintenant ne peut plus vous mordre Elle succombe sous la répression Chœurs « Sous la répression »
Un coup d’état, un coup d’éclat Toujours et encore Le même résultat
Des milliers de chars, de soldats Des généraux En tenue d’apparat
Un coup d’état, un coup d’éclat Toujours et encore Le même résultat (x4)
Je vous demande avec attention Ecoutez bien cette émission Nous venons d’prendre possession Des secteurs clés de la nation
Nos troupes ont pris position Aux quatre coins du territoire Chœurs « Aux quatre coins du territoire »
Nous contrôlons la situation Maintenant nous écrivons l’histoire Chœurs « Nous écrivons l’histoire »
Un coup d’état, un coup d’éclat Toujours et encore Le même résultat
Des milliers de chars et de soldats Des généraux En tenue d’apparat
On était parti pour assurer Ce concert il fallait pas le louper On s'était bien préparé Toute la nuit on avait répété
Punky a la crampe, Jano a la crampe Thomas a la crampe, Vovot a la crampe Punky a la crampe, Jano a la crampe
Entassés dans les tribunes Nous attendons le coup d’envoi Comme nos frères d’infortune Nous sommes prêts au combat
C’est le chant des supporters
Nos chants résonnent dans le stade Partout la bataille fait rage On se bat dans les balustrades Nos bannières flottent sur les grillages
C’est le chant des supporters
Ce soir nous serons vainqueurs Malgré toutes nos souffrances Les meilleurs dans la violence Dans le sang et la démence
C’est le chant des supporters
Dans les rues désertées De cette ville endormie Ils cherchent d'un pas assuré Des victimes pour la nuit
Abandonnés à leur sort Laissant parler la violence Ils tapent, ils tapent jusqu'à la mort Justifiant leur existence
Coupables ou victimes Responsables de leurs crimes Combien devront ils payer Pour cette vie qu'ils n'ont pas choisie
Ils chantent et dansent Sous la pluie Frappant en suivant la cadence Car sur un fond de symphonie Ils se rassasient des souffrances
Ils se quittent au petit matin Ayant assouvis tous leurs vices Délavés par le crachin Ils rentrent chez eux en bons fils
Bientôt viendra le jour Du dernier des combats L’aventure sans retour Celle dont on ne revient pas Dont on ne reviendra pas
Et ce sera le temps Des héros titubants De la dernière soûlerie De la dernière beuverie
Ce sera le dernier combat Et nous serons tous avec toi
Bleu Blanc Rouge Allez la France
Un état tricolore A l’ouest de l’Europe Confiant de son sort Et fier de son peuple
Territoire Bleu Blanc Rouge Père de nos destinées Et comme un fleuve qui bouge Prêt à tout submerger
Je suis fier d’être français Je suis fier
Nous sommes l’indépendance Par la force de l’esprit Nos ambitions de puissance Font trembler nos ennemis
La patrie du génie A pour capitale Paris Et aucune mémoire N’oubliera notre histoire
Guérilla urbaine Ma guerre peut sonner Forgée dans la haine Y a rien de criminel
Guérilla urbaine ! (x4)
Guérilla urbaine J’ai choisi ton camp Tant pis s’il m’amène A répandre le sang
Guérilla urbaine ! (x4)
Sans pitié, sans remords Nous battent dans les cités Modifiant ce décor Détruisant vos pensées
Guérilla urbaine ! (x4)
Guérilla urbaine Fait trembler les gens Nos luttes quotidiennes Seront sans précédent
Guérilla urbaine !
Quand meurent les légendes D’avoir trop fait rêver C’est une partie de nous Qui s’éteint avec elles
Elles sont la source de vie Le refuge de nos songe Les chemins de nulle part Qui nous conduisent ailleurs
Elles sont la source de vie Le refuge de nos songe Les chemins de nulle part Qui font les jours meilleurs
Je sais que jamais Ne mourront les légendes (x3)
Ceux qui les assassinent Ceux qui ne vivent pas Et ne font que passer Devront un jour payer
Ils ont tué les légendes Sans chercher à comprendre Et les ont remplacées Par de tristes croyances
Je sais que jamais Ne mourront les légendes (x3)
Nous plongeant vers l’abîme Jusqu’au fond des ténèbres Ou les rêves sont bannis Les cauchemars interdits
Mais quelles que soient vos lois Je poursuivrai mes rêves Au pays des légendes Que jamais je ne quitterai
Et quelles que soient vos lois Je poursuivrai mes rêves Au pays des légendes Que jamais je ne quitterai
Je sais que jamais Ne mourront les légendes
Abattoir pour retraités Exterminant les gens âgés Un génocide du 3ème âge Leurs cadavres aux crocs de bouchers
Docteur Petiot Vous êtes génial Plus de centenaire à l'hôpital Assassinats sur avis médical Pour faire baisser la moyenne nationale
Abattoir pour retraités Abattoir pour gens âgés
On va tester un nouveau sérum Les cobayes on va vous piquer Ceux qui résistent seront condamnés Vos goutte-à-goutte seront débranchés
Grand-mère arrête de gémir Je sens que je vais mourir de rire A quand votre dernier soupir Que je puisse enfin m'endormir
J’ai le cerveau en ébullition La matière cérébrale en fusion Je ne peux plus m’empêcher De tuer pour me soulager
Je vous hais, Je veux vous voir mourir Et vous entendre gémir
Votre mort purifie mon esprit Exorcisant cette maladie Qui sans cesse vient hanter mes nuits Me réclamant de nouveaux sacrifices
Je vous hais, Je veux vous voir mourir Et vous entendre gémir (x2)
Quel bonheur de vous voir mourir De vous entendre me maudir J’adore vous dépecer vivant Et puis boire tout votre sang
J’ai pour désir uniquement A crucifier des nouveaux nés A mutiler de jeunes enfants Avant de les écarteler
Je vous hais, Je veux vous voir mourir Et vous entendre gémir (x2)
Je les trépasse avec des pieux Et ensuite je leur crève les yeux Car leur regard qui me fait trembler Réveille en moi un soupçon de pitié
Il habitait dans le quartier Il ne sortait pas d’la journée Sauf pour aller travailler Comme vigile à l’usine à côté
Maurice Ta vie est un supplice Maurice Pourvu qu’tout ça finisse
Il se croyait persécuté Par de terribles services secrets Plongeant au moindre bruit suspect S’écrasant la gueule sur le pavé
Maurice Ta vie est un supplice Maurice Pourvu qu’tout ça finisse
Une fois tout barricadé Le téléphone déminé Il s’enfilait six litres de Beaujolais Pour était enfin
Maurice Ta vie est un supplice Maurice Pourvu qu’tout ça finisse
Il n’habite plus dans le quartier Maintenant il est enfermé Dans un asile pour aliénés Car un soir il a assassiné Son fils dans sa huitième année Il l’avait pris pour un agent secret
Vous ne croyez plus en rien Vous reniez toutes vos idoles Assassinez vos héros Reniez tous vos modèles
Espérant ainsi échapper A l'emprise d'un passé Qui vendait des illusions Sous forme de bénédictions Il vous faut de nouveaux dieux Facilement destructibles Des dieux à votre image Aussi faibles, aussi vulnérables
Votre inévitable destinée N'est pas liée à ces divinités C'est seulement celle que vous méritez Pour avoir le droit d'exister
Plus fort que tout Cette amitié qui nous unit Plus grands que tout Ces liens qui font d’eux nos amis C’est avec eux Qu’on a passée de bons moments C’est grâce à eux Qu’on a pas vu passer le temps Plus fort que tout Cette amitié qui nous unit Plus grands que tout Ces liens qui font d’eux nos amis Alors les gars Surtout n’oubliez jamais ça Alors les gars Ou ils iront tous on ira
Les amis de toujours en toute les occasions On peut compter sur eux Quelle qu’en soit, la raison Car c’est leur code d’honneur à eux
Ensemble on a vécu les mêmes galères Aimé les mêmes filles On s’est soûlé dans les mêmes bars Nos souvenirs ne font qu’un mémoire
Plus fort que tout Cette amitié qui nous unit Plus grands que tout Ces liens qui font d’eux nos amis Alors les gars Surtout n’oubliez jamais ça Alors les gars Ou ils iront tous on ira
On peut compter sur eux Ils feront de leur mieux Mais surtout n’oublie pas Oh, qu’eux aussi comptent sur toi (x2)
Dans les coups durs ou dans les fêtes Ils sont toujours avec toi Rien jamais ne les arrête Dans le malheur ou dans la joie
Et même si un soir complètement bourrés On est vient à s’engueuler Demain tout sera oublié Ca nous fera même rigoler
On peut compter sur eux Ils feront de leur mieux Mais surtout n’oublie pas Oh, qu’eux aussi comptent sur toi (x2)
Ils comptent sur toi !!!! Alors les gars Surtout n’oubliez jamais ça Alors les gars Ou ils iront tous on ira Allez Plus fort que tout Viens avec nous Cette amitié qui nous unit Plus on rira Plus grands que tout Plus on s’ra d’fous Ces liens qui font d’eux nos amis Y aura les copains des copains ce soir C’est avec eux Qu’on a passée de bons moments C’est grâce à eux Viens rigoler Qu’on a pas vu passer le temps Plus fort que tout Ah les copains Cette amitié qui nous unit Plus grands que tout Allez viens Ces liens qui font d’eux nos amis Alors les gars Surtout n’oubliez jamais ça Alors les gars Ou ils iront tous on ira
Figé dans ta communauté Tranquillement installé au chaud Tu nous regardes à la télé Ensanglantés par vos alliés
Rêves de liberté Se payent avec le sang C’est le prix qu’il faut payer Pour vivre autrement
Toutes vos idées moyenâgeuses On en fait la caricature Dans cette société dégonflée Nous combattons pour le présent
Rêves de liberté Se payent avec le sang C’est le prix qu’il faut payer Pour vivre autrement
Vos brigades nous lavent le cerveau Nous résistons à vos pressions Nous bâtirons un monde nouveau Sans flics, sans frontières, sans nations
Rêves de liberté Se payent avec le sang C’est le prix qu’il faut payer Pour vivre autrement
Une guerre mondiale de la jeunesse S’attaquant à tous vos fantasmes Tirant un trait sur ce passé Que votre sang va colorer
Rêves de liberté Se payent avec le sang C’est le prix qu’il faut payer Pour vivre autrement (x4)
Les seigneurs de la guerre Depuis la nuit des temps Déferlent sur les terres Des peuples décadents
Bâtissant des empires Sur les ruines des nations Imposant leur culture Et leur domination
Ooooooh (x4)
Détruisant des chimères Repartant en croisade Pour des gloires éphèmères Dans le meilleur des mondes
Armées de conquérants Sortis de Leurs bannières rouges de sang Sur les villes qui se rendent
Ooooooh (x4)
Les seigneurs de la guerre Depuis la nuit des temps Déferlent sur les terres Des peuples décadents
Bâtissant des empires Sur les ruines des nations Imposant leur culture Et leur domination
Ooooooh (x4)
C’était l’été sur cette plage Une plage blonde comme tes cheveux Nous avions presque le même âge Nous avions tout pour être heureux
Mais tu m’as refusé ton cœur Dans les dunes je t’ai attrappée Tu étais morte de terreur Et c’est alors Que je t’ai violée
Sonia, Sonia, tu as tort de me résister Sonia, Sonia, je me sentais comme obligé
Quand les copains sont arrivés Tu te croyais presque sauvée Mais c’est moi qu’ils venaient aider Et tous ensemble On t’a baisée
Sonia, Sonia, tu as tort de me résister Sonia, Sonia, je me sentais comme obligé
Toute la nuit tu y es passée On en a bien profité Au matin on t’as abandonnée Tu avais l’air Si fatiguée
Sonia, Sonia, tu as tort de me résister Sonia, Sonia, je me sentais comme obligé
Vous allumez la télévision Captez ce scintillement d'électrons De cette nouvelle religion Qui prend pour vous des décisions
Le culte de la publicité N'admet aucune hérésie Que cette image soit sanctifiée Au nom du contrôle des pensées
Dans cette totale soumission Au grand prêtres de la diffusion Fidèles hypnotisés par l'écran Invoquant ses reflets brillants
Une génération de mutants Agglutinés face au récepteur Regardant dans le néant Un avenir qui leur fait peur
Déjà au lycée Comme les doigts de la main On f’sait toutes les virées Et on les faisait bien
On rêvait de musique Du groupe qu’on allait former Rien à foutre d’la technique Il faut qu’ça pète tu nous l’disais
Il fallait toujours Que tu chantes ou que tu gueules Des chansons bulldozers Ou des insanités
Tu chantais comme une casserole Alors t’as posé ton micro T’as dit je s’rais roadie Je m’occuperais du matos
T’as été à Pigalle Pour aller t’faire tatouer Un aigle un peu bancal Mais il nous a tous fait rêver
Si le hasard fait que On peut se retrouver On f’ra une fête d’enfer Toute la terre va en trembler
Tous ensemble on va bien se marrer On sera tous ensemble Tous ensemble on va se défouler On sera tous ensemble
Ce soir on s'ra la Et l'on gagnera
Tous ensemble soulés par l'alcool Tous ensemble on va bien se marrer
Ce soir on s'ra la Comme les autres soirs On s'ra tous ensemble Debout les maudits Venez avec nous On s'ra tous ensemble
Empire britannique - Armée dans la rue Combat quotidien - Patrouille de routine Attentat terreur - Résistance aujourd'hui Insurrection - Angleterre nazie
Ulster n'est pas l'Angleterre C'est pour ça qu'ils se font la guerre
Boutique incendiaire - Commando terroriste Black-out total - Belfast maquis Assassine catholique - Il tue protestant Problème politique - Guérilla urbaine
Nation subversion - Royaume désuni Alerte à la bombe - Ulster militaire Destruction pouvoir - Meurtre organisé Troupe d'occupation - Irlande désillusion
Comme tous les samedi soir On va encore se faire chier Heureusement qu’on va boire Ca nous aide à oublier
Allez viens avec nous On s’ra unis par le vin Allez viens avec nous Jusqu’au matin
Ici rien n’est fait pour nous On est pas prévu dans leur plan C’est dur de n’avoir rien du tout Et toujours serrer les dents
Allez viens avec nous On s’ra unis par le vin Allez viens avec nous Jusqu’au matin
En sortant du troquet Des bouteilles d’alcool plein les poches On chante on gueule on s’défoule Et déjà le plus soûl s’écroule
Allez viens avec nous On s’ra unis par le vin Allez viens avec nous Jusqu’au matin
Enfin le jour qui se lève Sur ce triste dimanche matin Et déjà dans nos rêves Le week-end prochain
Allez viens avec nous On s’ra unis par le vin Allez viens avec nous Jusqu’au matin (x4)
On a rien foutu au lycée C’est pour ça qu’on est des crétins Maint’nant on est tous au café D’vant un d’mi à attendre le prochain
On est des vauriens On ne sert à rien (x4)
On est tous accoudés au comptoir On répète les mêmes histoires Qu’un jour on arrive plus à boire
On est des vauriens On ne sert à rien (x4)
Les gens nous disent qu’on est fainéants On travaille moins d’un jour par an trop d’argent Que nous donne le gouvernement
On est des vauriens On ne sert à rien