Bob Pap Labidoup Qui ne voit pas sa biroute Il n's'en est jamais servi Que soulager sa vessie
Jean Paul II, Jean Paul II Jean Paul de mes deux (x2)
Tous les matins elle est lavée Par des nonnes aux yeux bandés Qui lui lavent sa culotte Et qui lui filent des capotes
Jean Paul II, Jean Paul II Jean Paul de mes deux (x2)
Un jour elle se lèvera Et alors s'accomplira La réforme du christianisme Des partouzes dans les églises
Jean Paul II, Jean Paul II Jean Paul de mes deux (x2)
Bob Pap Labidoup Qui ne voit pas sa biroute Il n's'en est jamais servi Que soulager sa vessie
Jean Paul II, Jean Paul II Jean Paul de mes deux (x2)
Ooooh Jean Paul de mes deux
Eté 69 Nous étions tous les deux Allongés dans l’étable Ton corsage gonflé Tu étais désirable
Enlacés dans la boue Fricotant dans la fange Je te bouffais le mou T’avais une montre étanche
Au doux chant des gorets En rut comme un Taureau Jean René était là Matant comme un salaud salaud
Nous étions tous les deux Allongés dans l’étable Ton corsage gonflé Tu étais désirable
Ete 69 (x8)
Quand nous eumes l’extase Jean René n’en puis plus Il prit l'un des gorets et lui grimpa dessus
Voici la triste histoire Des amants délaissés Je n’irais plus te voir En 69 l’été
Nous étions tous les deux Allongés dans l'étable Ton corsage gonflé Tu étais désirable
Enlacés dans la boue Fricotant dans la fange Je te bouffais le mou T'avais une montre étanche
Au doux chant des gorets En rut comme un Taureau Jean René était là Matant comme un salaud salaud
Nous étions tous les deux Allongés dans l'étable Ton corsage gonflé Tu étais désirable
Ete 69 (x8)
Quand nous eumes l'extase Jean René n'en puit plus Il prit l'un des gorets et lui grimpa dessus
Voici la triste histoire Des amants délaissés Je n'irai plus te voir En 69 l'été
L'innocent du village Dès les premiers rayons venus Etait lynché sur son passage Récoltait tous les pieds au cul
Ciel Dieu l'humain est trop cruel Pourquoi pleuvent sur moi les coups de fourche, les coups de pelle ?
L'innocent du village Le coeur plein de bonnes intentions Se faisait toujours éjecter Voulant donner l'amour aux cons
Ciel Dieu l'humain est trop cruel Pourquoi pleuvent sur moi les coups de fourche, les coups de pelle ?
L'innocent du village Saisissant un fort beau dindon Ne crut pas ses lunettes l'oiseau kui portait attention
Ciel Dieu l'humain est trop cruel Je m'en vais dans les poulaillers Aux dindons rouler des gamelles
L'innocent du village Dès les premiers rayons venus Etait lynché sur son passage Récoltait tous les pieds au cul
Ciel Dieu l'humain est trop cruel Je m'en vais dans les poulaillers Aux dindons rouler des gamelles
Aux dindons rouler des gamelles (x4)
Fort imbu de ma personne Je vis sur le dos des gens Je suis le calvaire de leur vice Le signe de leur délabrement
Plus vil que moi tu meurs Plus honteux ca ne se fait pas Je suis aux parties génitales Ce qu'aux poubelles est le cancrelat
Fantassin des zones malpropres Conquérant des moiteurs intimes Nous sommes tant d'assaillants que de bateliers sur la Volga
Juger l'humain à son rhésus Ou à sa pilosité C'est le propre de ma race De Profondis Morpionibus
Plus vil que moi tu meurs Plus honteux ca ne se fait pas Je suis aux parties génitales Ce qu'aux poubelles est le cancrelat (x4)
Je suis l'archange du SAMU Celui qui hante les hôpitaux Je suis le squatteur des rotondes Celui qui marche pas mais qui tombe
Des plaies, des bosses, des cicatrices (x2)
Tous les malheurs et heurts physiques Se donnent rencart sur ma personne Je commence toujours dans les bars Ce que j'achève dans les cliniques
Des plaies, des bosses, des cicatrices (x2)
Dès que je monte dans une voiture Importe peu, qui la conduit Les arbres soudain traversent la route Cela provoque des ennuis
Des plaies, des bosses, des cicatrices (x2)
Pas de ligne de chance dans mes mains Mais sur mon bide, des cicatrices Je n'ai que mes yeux pour pleurer m'épargnera-t-on du phymosis
Des plaies, des bosses, des cicatrices (x2)
Je suis l'archange du SAMU Celui qui hante les hôpitaux Je suis le squatteur des rotondes Celui qui marche pas mais qui tombe
J’aurais traversé toutes les mers pour te voir Sur un gros surf Taillé dans une grosse armoire
J’aurais pris mon beau solex dans l'espoir Qu'il ne neige pas d'ici ce soir
Mais
Je dois partir maintenant car notre amour est impossible Je dois partir sinon ton mari me prendrait pour cible (x2)
Je grimperai l’Everest avec une truelle Et j’attendrai toute la nuit dans ta poubelle
Je descendrai des rapides en pull A cheval sur Tagadagadag un beau dahut
Mais
Je dois partir maintenant car notre amour est impossible Je dois partir sinon ton mari me prendrait pour cible (x2)
J’vendrais la peau de l’ours avant d’l’avoir tué J’t’achèterais un badge d’Allain Gillot Pétré
Je sauterais en parachute du haut d’un trottoir J’irais laver tes caldés au lavoir
Mais
Je dois partir maintenant car notre amour est impossible Je dois partir sinon ton mari me prendrait pour cible (x2)
Mais
Je dois partir maintenant car notre amour est impossible Je dois partir sinon ton mari me prendrait pour cible (x2)
Je ne me mettrai plus les doigts dans le nez Je dans’rais la gavotte sur le dos d’un papou
Je ne chercherais plus de trésor dans ma raie Je resterais assis, Jean Jacques sera debout
Mais
Je dois partir maintenant car notre amour est impossible Je dois partir sinon ton mari me prendrait pour cible (x2)
Nous avions rendez vous à la piscine Toi et moi, tous les deux Sans mes copains sans tes copines Tous les deux en amoureux
Ta sœur mongolienne Ta sœur schizophrène Ta sœur a tout gâché J’ai failli me noyer
Sur le bord du petit bassin Nerveux je craignais ton absence J’aurais mis la tête dans mon maillot de bain Si j’avais su qu’tu trimballais Clarence
Ta sœur débile mentale Ta sœur hydrocéphale Ta sœur m’a tant squatté L a raison m’a quitté
Nous avions rendez vous à la piscine Toi et moi, tous les deux Sans mes copains sans tes copines Tous les deux en amoureux
Ta sœur mongolienne Ta sœur schizophrène Ta sœur a tout gâché J’ai failli me noyer
Ta sœur a tout gâché Mon cerveau s’est noyé
Ta sœur a tout gâché Mon cerveau s’est noyé
Ta sœur hydrocéphale Ta sœur débile mentale Ta sœur m’a tant squatté J’ai failli me noyer
Nous avions rendez vous à la piscine Toi et moi, tous les deux Sans mes copains sans tes copines Tous les deux en amoureux
Ta sœur débile mentale Ta sœur hydrocéphale Ta sœur m’a tant squatté Que la raison m’a quitté
Tu mènes une vie normale Personne ne te soupçonne Tu travailles et tu manges Comme n'importe quel homme Une seule petite chose Qui te différencie Tu vas souvent le soir Au jardin Kennedy
Adepte de tous les plaisirs anticonformistes Tu aimes quand dans ton cul une pine se glisse
Tu cherches un partenaire Pour orgasme peu banal Un homme pour partager Tes envies infernales Mais ton amant ce soir Ne sera pas un homme C'est une pine d'éléphant Qui t'écarteras le rectum
Adepte de tous les plaisirs anticonformistes Tu aimes quand dans ton cul une pine se glisse
Tu gis inconscient Dans une mare de sang vermeil Tu connaîtras les joies De l'anus artificiel Par ou tu as péché Cette fois tu es puni Tu n'iras plus non le soir Au jardin Kennedy
Adepte de tous les plaisirs anticonformistes Tu aimes quand dans ton cul une pine se glisse (x2)
Tu mènes une vie normale Personne ne te soupçonnes Tu travailles et tu manges Comme n'importe quel homme Une seule petite chose Qui te différencie Tu vas souvent le soir Au jardin Kennedy
Adepte de tous les plaisirs anticonformistes Tu aimes quand dans ton cul une pine se glisse